Peurs / Phobies

Définition médicale de la peur (www.academie-medecine.fr) :
crainte anxieuse éprouvée en présence ou à l’évocation d’un objet ou d’une situation dans lesquels réside une menace.

Définition médicale de la phobie (www.academie-medecine.fr) :
Peur déraisonnable par rapport à la réalité d’un danger potentiel dont la personne phobique reconnaît le caractère irrationnel et qui la fait souffrir.

Il existe bon nombre de peurs, de phobies : l’agoraphobie, la peur des lieux publics, la claustrophobie, la peur des lieux confinés, la peur du vide, la peur du noir, arachnophobie, la peur des serpent…

Le syndrome phobique est souvent associé à un désir de contrôle excessif et inconscient. Cela peut entraîner une peur importante et irrationnelle lorsqu’il est impossible de prédire ou de contrôler les événements externes, tels que les réactions d’un avion, d’animaux…

Chaque cas de phobie est unique, et le traitement doit être adapté à chaque personne en fonction de ses besoins individuels. Dans le cadre d’un travail collaboratif client / thérapeute, l’hypnose permettra à la personne de calmer et réduire les niveaux d’émotions et à améliorer la qualité de vie de la personne.
La manière dont je travaille dans le cadre d’une telle problématique.

Je vous propose tout d’abord un échange pour identifier clairement les déclencheurs émotionnels, les mécanismes des comportements émotionnels. Il s’agit de comprendre la manière dont vous fonctionnez pour favoriser l’identification de ce qui se passe juste avant que la charge émotionnelle soit trop forte. Puis je m’intéresse à ce qui se passe pendant la charge émotionnelle trop importante et la manière dont vous régulez l’émotion ensuite.

Ainsi, vous pourrez m’expliquer ce que vous souhaitez modifier dans votre comportement ou tout simplement supprimer. Cela vous permettra de mettre en place le comportement le plus adéquate pour vous en état d’hypnose.

Et oui il est important de reconnaître que la peur a tout de même une certaine utilité lorsque la peur irrationnelle peut être très inconfortable voire faire souffrir. C’est pour cela qu’il sera important de bien déterminer si votre objectif est de modifier le comportement de manière à ce qu’il devienne gérable ou si la suppression est le plus écologique pour vous.

Prenons l’exemple d’un couvreur qui aurait peur du vide. Cela peut être handicapant.

Cependant, la peur est utile pour rester vigilant, attentif et suivre les consignes de sécurité pour éviter de tomber d’un toit. Dans ce cas, il sera plus intéressant pour la personne de modifier son comportement plutôt que de supprimer la peur elle-même.

Gagner en confiance en soi

Définition de la confiance en soi :
(www.larousse.fr)

Sentiment, conscience que l’on a de sa propre valeur et dans lesquels
on puise une certaine assurance.

Une personne qui manque de confiance en elle est souvent son premier détracteur. Et dans ce cas, les phrases les plus courantes sont : je suis trop nul(le). Je n’y arriverai jamais. Je n’ai pas le niveau. Je n’ai pas droit à cela. Je ne suis pas belle. Je ne comprends jamais rien. Je ne sais pas dessiner. Je ne suis pas créatif ou créative…. On pourrait en écrire des pages et des pages.

Peut-être avez-vous déjà prononcé une telle phrase. Cela ne fait de vous une personne qui manque de confiance en soi. Souvent, c’est la récurrence de cette façon de parler qui est plutôt un signe. Il pourrait presque s’agir d’un trait de caractère. C’est une situation qui peut être très problématique dans la vie en générale des personnes qui manquent de confiance en elles.
De même, dans la société très médiatisée dans laquelle nous évoluons aujourd’hui, tout nous pousse vers une vie idéalisée par la société de consommation avec une vie professionnelle idéale, une vie sociale idéale …Et c’est souvent la course à une certaine perfection en désaccord même avec les valeurs des personnes qui manque déjà de confiance en elles.

Notre société et nos valeurs éducative tendent souvent plutôt à prévenir et éviter l’échec de sorte que les enfants réalisent finalement peut d’expérience et appréhende le monde avec des conseils, des interdits et une course à la victoire versus l’expérimentation par l’échec qui finalement est porteur de bien des messages de réussite. L’échec c’est avant tout le fait d’oser tenter quelque chose de différent à l’habitude. Dans le meilleur des cas, cela fonctionne. Dans le pire des cas, cela permet de savoir que dans ces conditions, cela ne fonctionne pas et permet de se repositionner pour tenter autrement.

Ce que l’hypnose peut apporter dans une telle problématique :
Je vous propose tout d’abord un échange pour identifier clairement les déclencheurs émotionnels et les mécanismes qui poussent la personne à penser de cette manière, le contexte dans lequel cela intervient ainsi que la fréquence afin de formuler l’objectif final Ensuite, l’accompagnement en hypnose permet l’accès à des ressources, des outils puissants qui permettront d’atteindre l’objectif définit par la personne en préambule. Cela peut passer par un changement de comportement tout en réajustant les croyances, les valeurs de manière à ça que l’accompagnement se déroule dans les meilleures conditions pour le consultant. C’est souvent l’occasion pour les personnes de se sentir elles-mêmes, en accord avec elles-mêmes.

Gagner en estime en soi

En finir avec les addictions

Définition médicale de l’addiction / dépendance :
(https://www.dictionnaire-medical.fr/definitions/017-addiction/)

Le mot addiction est un anglicisme qui désigne la dépendance d’un individu à une substance ou une activité génératrice de plaisir dont il ne peut plus se passer, plus ou moins rapidement, malgré l’envie d’arrêter. Il existe de très nombreuses addictions, avec à chaque fois des risques sanitaires qui peuvent être majeurs.

Il existe de nombreuses addictions :
Drogues, tabac, vapotage, alcool, sexe, écrans vidéos, sucre, café, téléphone…

Dans cette problématique d’addiction on retrouve les notions de plaisir, de fréquence et de pulsion incontrôlables.

Au début, le plus souvent, l’objet de l’addiction est un acte de plaisir plus ou moins banal, anodin. Puis vient le besoin de réaliser cet acte de plus en plus souvent, de manière parfois déraisonnée et incontrôlée. Et finalement, cela devient une dépendance, quelque chose dont la personne ne peut plus se passer. La personne se sent souvent comme enchaînée à quelque chose qui ne lui convient même pas forcément.

Prenons l’exemple d’un enfant qui est addict aux écrans. Au début cela peut être pour jouer à un jeu de manière plaisante. Et puis l’enfant est tellement pris dans le jeu, par le jeu que cela devient de plus en plus important de jouer à la console au point que cela devienne un besoin. Souvent, dans ces cas-là, l’absence de console provoque un mal être, de la colère, des comportement inhabituel et compulsif.

Ce que l’hypnose peut apporter dans une telle problématique :
Je vous propose tout d’abord un échange pour identifier clairement les déclencheurs émotionnels et les mécanismes qui poussent la personne à continuer cette addiction. Souvent, à ce stade, on parle plutôt d’une libération de l’addiction. Cette formulation positive permet déjà de considérer la problématique d’un autre point de vue.
Ensuite, l’accompagnement en hypnose permet l’accès à des ressources, des outils puissants qui permettront de résoudre la problématique de l’addiction et l’objectif de sa libération de manière à rendre le changement plus solide dans le temps.

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